Publié par Hervé Renard aurait pu diriger les Éléphants de la Côte d’Ivoire pour le reste de la Coupe d’Afrique des Nations 2023. Il aurait également pu empocher une grosse prime à la signature.
La 34 ème édition de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) s’est ponctuée par un troisième sacre de la Côte d’Ivoire dans l’histoire de la compétition. Un parcours parsemé d’embûches que personne ne pourrait prédire, surtout à l’issue du premier tour. Avec 3 points en 3 matchs de phase de groupes, les Éléphants passèrent de justesse par la voie des meilleurs troisièmes pour atteindre les huitièmes de finale de sa CAN.
Premier responsable des revers contre le Nigéria (0-1) et la Guinée Équatoriale (4-0), qui auraient pu fatals, Jean-Louis Gasset démissionne de son poste de sélectionneur au lendemain de l’humiliation face au Nzalang Nacional. La Fédération ivoirienne de football (FIF) a propulsé dans la foulée son adjoint Emerse Faé pour assurer l’intérim. L’instance faîtière a ensuite entamé les négociations pour une arrivée de Hervé Renard.
Le technicien français, qui était à la tête de la sélection ivoirienne lors du sacre en 2015, se voit proposer une grosse prime à la signature. Selon les informations de SuperSport, celle-ci s’élèverait à 327 millions de Francs CFA. Une somme que Renard aurait touché en moins de deux semaines. C’est aussi trois fois plus que la prime perçue par Emerse Faé (100 millions F CFA) après avoir mené la Côte d’Ivoire au sommet de l’Afrique.
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