Publié par Le Sénégal pourrait conserver son titre de champion d’Afrique en Côte d’Ivoire, c’est l’avis de l’ancien international sénégalais Khalilou Fadiga. L’ancien numéro 10 des Lions de la Téranga ne voit aucune équipe en Afrique battre le Sénégal pour en 2024.
Invité par la FIFA pour prendre part à un match de légende avec des anciens footballeurs comme Cafu, Djorkaeff, Ococha, Webo, entre autres, Khalilou Fadiga s’est exprimé sur l’équipe nationale du Sénégal dans un entretien avec le média Sud Quotidien. Dans une série de questions, l’ancien joueur d’Auxerre a répondu sur les performances de l’équipe nationale.
Le Sénégal aura-t-il la possibilité de garder toutes ses armes pour conserver son titre de champion d’Afrique, en Côte d’Ivoire, au mois de janvier prochain ?
A l’heure actuelle, le Sénégal a toutes les armes, vraiment on a toutes les armes. Ça je pense que tu le sais, je pense, sans être dans la prétention, tu me connais. Je pense que je suis une personne humble. A l’heure actuelle, on analyse des qualités intrinsèques que nous avons dans notre équipe, je ne vois pas qui peut nous battre franchement.
Le Sénégal vient de glaner son 4ème trophée continental, en un an…
(Il coupe). Moi, j’en compte 5 : les 4 trophées et le «thiebou diëne» qui a été choisi par l’UNESCO pour le meilleur plat au monde. Je suis très heureux. Vous savez tous que je suis quelqu’un de sincère et je suis heureux. Je ne peux pas être plus heureux que ça. Je vous assure que quand on avait gagné la Coupe d’Afrique des Nations, Cameroun 2021, je marchais la tête haute. J’ai toujours marché la tête haute ; mais là, comme je disais l’autre jour, mes pieds ne touchent plus le sol.
Le Sénégal est donné en exemple, partout en Afrique. Qu’est-ce qui explique cette réussite de notre football, de façon générale ?
C’est une ligne rectiligne, c’est quelque chose qui vient d’en haut, qui part du président de la République. Tout le monde part exactement dans la même lignée, c’est ça qui est bien avec le Sénégal. Pour nous, on gagne à l’heure actuelle, du Président en descendant au ministère des Sports en allant jusqu’au président de la Fédération, Abdoulaye Sow, Aliou Cissé, Pape Thiaw, Malick Daf et toutes les personnes qui sont là, c’est une ligne rectiligne ; tout le monde est sur une même table de marche jusqu’à présent.
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