Lors d’un récent entretien accordé à So Foot, Didier Lamkel Zé est revenu sur son passage mitigé en terre belge. L’international camerounais, qui évolue désormais à Hatyaspor (en Turquie), s’est livré à cœur ouvert. «Vous le savez très bien : le seul pays où j’ai eu des problèmes, c’est en Belgique. Dès que j’en sors, je n’ai plus de problèmes de discipline, mais on continue de me parler de ce qui s’est passé», explique-t-il.
Lamkel Zé en a profité pour régler ses comptes avec Kevin Mirallas, directeur sportif de l’Eendracht Alost. «Il y a peu, on lui a demandé ce qu’il pensait de moi. Il a dit : « Même gratuitement, je ne le prends pas. » Déjà, qui a dit que je voulais venir dans son club ? C’est ça le problème : ils veulent toujours parler de moi, alors que moi je n’ai rien demandé. Pour moi, la Belgique, c’est de l’histoire ancienne. C’est pour ça que je voulais à tout prix quitter Courtrai», a-t-il ajouté dans les colonnes de So Foot.
«Bien sûr, il s’est passé des trucs à l’Antwerp. Mais je n’ai rien contre eux. C’est désormais de l’histoire ancienne. Je me dis que j’ai contribué à la reconstruction. Quand je suis arrivé, on disait que ça ne jouait pas au foot, que c’était que sur la gnaque et tout. Dieumerci Mbokani et moi, on a réussi à stabiliser le club. Ensuite, les dirigeants ont su recruter les bons joueurs pour arriver à décrocher le titre. C’est mérité, bravo à eux.», a conclu Didier Lamkel Zé.
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